2021 : devenir croupier, un métier d’avenir ?

croupier table de jeu

2021 : devenir croupier, un métier d’avenir ?

De nos jours, près de 7 000 croupiers sont agréés en France et sont pour une grande majorité d’entre eux actifs dans des casinos. L’univers électrisant du casino a toujours fasciné les différentes générations à travers le temps, dont les jeunes d’aujourd’hui. Les passionnés de jeux d’argent aspirent à devenir croupier pour vivre de leur appétence pour l’appât du gain. Face à l’effervescence des casinos virtuels, devenir croupier est-il vraiment un métier d’avenir ? Tour d’horizon sur cette question qui brûle de nombreuses lèvres.

L’essor des casinos virtuels n’est pas un frein pour les croupiers

La course effrénée des casinos virtuels sur le web pourrait inquiéter les croupiers en devenir. Les plateformes de jeux d’argent et de hasard offrent une myriade d’avantages, sans les contraintes d’horaires d’un casino physique. En plus d’offrir une expérience utilisateur de plus en plus réaliste, notamment grâce aux technologies de réalité augmentée, les casinos en ligne permettent de s’adonner à une partie depuis n’importe où et via différents outils numériques.

Un grand nombre d’opérateurs de casino en ligne permettent d’accéder à un catalogue vaste et varié de jeux, comme celui-ci : https://www.casino777.ch/fr/. Des jeux traditionnels au plus récents, ces plateformes digitales dédiées à l’univers du casino ont le vent en poupe. Globalement, il faut aussi savoir que les jeux d’argent en ligne sont soumis à différentes législations qui peuvent varier d’un pays à l’autre.

Bien que ces plateformes de jeux soient de plus en plus adulées par les passionnés des jeux d’argent, les croupiers ne se sont néanmoins pas inquiets de l’avenir de cette profession. Malgré le succès planétaire des plateformes de casino en ligne, les croupiers ont des facilités à exercer leur métier à travers l’Hexagone ou dans d’autres pays. 

À noter que le métier de croupier peut également s’exercer en ligne, au service des casinos virtuels. Dans ce cas de figure, le croupier anime la partie en ligne, ce qui permet aux internautes de se sentir dans un casino physique. Voici quelques éclairages pour exercer le métier de croupier.

En quoi consiste le métier de croupier ?

Le métier de croupier repose sur la gestion, l’arbitrage et assure le bon déroulement d’une partie de jeu de casino. Il veille à l’application des règles de jeux propres à l’univers du casino. À chaque partie, le croupier mélange, distribue les cartes aux joueurs et rappelle les règles de jeux, tout en veillant au maintien d’une bonne ambiance autour de la table.

En parallèle, il doit aussi prendre les paris, mais aussi, surveiller les jetons et les distribuer aux gagnants de la partie. En somme, le croupier intervient dans les jeux de tables les plus connus tels que le Blackjack, le Bacca, le Craps, le Poker, la roulette et bien d’autres encore. Comment s’y prendre pour travailler dans un casino en 2021 ?

Carrière de croupier : miser sur une formation

Au premier abord, le métier de croupier semble relativement facile, mais requiert une formation. Toutefois, ce métier ne nécessite pas forcément de qualifications difficiles à obtenir. Même si cette profession requiert des qualifications, une formation de courte durée permet aux élèves de travailler dans le milieu rapidement.

Avec un salaire plus élevé que le SMIC, le métier de croupier séduit de plus en plus. Les années d’expérience dans la profession permettent de percevoir des salaires plus élevés en fin de carrière. À cela, s’ajoute notamment une enveloppe généreuse de pourboires des clients. En France, par exemple, il existe deux écoles privées spécialisées dans la formation des croupiers.

Pour pouvoir rejoindre les bancs de ces écoles, il est indispensable de réussir diverses épreuves, telles que des tests de calcul mental, de réflexe et d’observation. En général, ce type de cursus peut s’établir sur deux mois, pour un budget d’environ 3 000 euros. Suite à la période formation, il ne reste plus que l’obtention d’une certification en validant les acquis de compétences.

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